Niels Arden Oplev est un réalisateur danois né le 26 mars 1961. Il sort diplômé de l’Ecole Nationale de Cinéma du Danemark en 1989. Il fait ses premières armes via un premier court métrage, « Nøgen », en 1992. C’est quatre ans plus tard que le metteur en scène réalise son premier long métrage, « Portland », plongée dans la pègre danoise à travers l’histoire d’un affrontement entre deux frères. Le film est sélectionné pour la Berlinale et Niels se fait un nom au Danemark. Cette expérience amène le cinéaste à travailler pour la télévision danoise. Il réalise notamment un documentaire sur le monde du heavy metal puis travaille sur des séries TV dont « Nom de code : L’aigle », récompensée par l’Emmy Award de la meilleure série étrangère. En 2001, Oplev signe une comédie romantique, tout en poursuivant son travail pour le petit écran. C’est en 2006 que le réalisateur décide de se consacrer à nouveau pleinement au cinéma. Il signe ainsi son troisième long métrage, « We Shall Overcome ». Le film narre l’histoire d’un garçon influencé par Martin Luther King se révoltant contre son système scolaire. Il rencontre un énorme succès au Danemark avec cette oeuvre et remporte l’Ours de cristal à Berlin.
Deux frères un peu idiots louent une maison à côté de leur propriétaire dans la campagne danoise. Une jeune femme y séjourne pour Noël. Un créancier qui vit là, fabrique des bonbons épicés, ce qui entraîne des journées de Noël chaotiques pour tous.
L’histoire dramatique d’un jeune garçon qui s’inspire de Martin Luther King pour mener une rébellion contre les représentants de l’autorité au sein de son école dans le Danemark de 1969.
Mikael Blomkvist est journaliste économique dans le magazine Millenium. Condamné pour diffamation, il décide de prendre de la distance avec sa vie et son métier. Cependant, Henrik Vanger, grande figure de l’industrie suédoise, fait appel à lui afin d’enquêter sur une disparition non élucidée, celui d’Harriet Vanger, nièce du grand homme et disparue à l’âge de seize ans.
Martin, 14 ans, est forcé de faire face à une sexualité confuse et la perte d’une mère dans un cadre provincial au milieu des années soixante-dix, où la célèbre libération du porno danois a eu son influence sur les ad