Un jeune juif New-Yorkais fan de Beckett tente d’écrire sa première pièce, pris dans ses déboires amoureux.

Une fille parfois détestée tente de lutter avec optimisme contre les assauts de ce qui s’annonce être une longue puberté.

Trois soeurs et leur entourage vivent de cruelle désillusions dans leur recherche mal avisée du bonheur.

Deux histoires distinctes se déroulent dans l’univers tristement comique de l’université et du lycée, hier et aujourd’hui. En suivant l’itinéraire de ses personnages aussi prometteurs que perturbés, Storytelling parle de sexe, de race, de célébrité et d’exploitation. La première partie s’intitule Fiction et se déroule dans le campus d’une fac dans les années 80. Elle met en scène les relations complexes entre trois étudiants, Vi, Marcus et Catherine, et leur professeur d’écriture, M. Scott.
Dans la deuxième partie, intitulée Non fiction, Toby, un pauvre gars, persuade un lycéen sans perspective d’avenir et sa famille d’être les sujets de son documentaire.

Aviva Victor a douze ans et veut être maman. Elle fait tout pour que son rêve devienne réalité.

Dix ans ont passé après les épreuves qu’a traversées la famille Jordan. Joy, qui découvre que son mari Allen n’est pas encore guéri de ses problèmes d’addiction, aimerait trouver du réconfort auprès de sa mère et de ses sœurs Trish et Helen, mais celles-ci ont leurs propres problèmes.

Un trentenaire, adolescent attardé qui habite toujours chez ses parents, tombe amoureux d’une jeune femme dépressive.

Quatre histoires et un teckel en guise de trait d’union pour un regard féroce et drôle sur la condition humaine.