Damiano Damiani est né à Pasiano di Pordenone le 23 juillet 1922 et meurt à Rome le 7 mars 2013. Il est écrivain,scénariste,acteur et réalisateur.
Il est classé parmi les grands réalisateurs du cinéma italien qui ont affronté les problèmes sociaux sans y introduire des filtres intermédiaires donnant des visions ouatées ou oniriques. Damiani découvre le cinéma dès son plus jeune âge, mais c’est à 14 ans, en voyant « New York-Miami » de Frank Capra, qu’il comprend que derrière les images, il y a un message, une vision du monde, une philosophie… Néanmoins, il poursuit d’abord des études de décorateur à l’Académie des beaux-arts de Milan. C’est par ce biais, qu’en 1946, il accède au cinéma. D’abord, il réalise des documentaires (une douzaine, entre 1946 et 1956) et participe à l’écriture de plusieurs scénario dont « La Chronique des pauvres amants » de Carlo Lizzani. Il dirige son premier film à 37 ans en 1959.
C’est le temps des souvenirs pour une bande d’amis qui se retrouvent après de nombreuses années de séparation. Tous approchent de la quarantaine et souhaitent, au cours d’une soirée, retrouver le goût de l’insouciance de leur jeunesse. Mais au fil des heures, les souvenirs plus ou moins heureux s’égrènent, apportant peu à peu une tension dramatique à cette réunion d’amis
Un jeune peintre désœuvré vit une passion charnelle orageuse avec une belle et insaisissable jeune fille.
Alberto entame une relation avec Claudia, une séduisante artiste-peintre rencontrée par hasard. La jeune femme, qui voit toujours son ancien amant, lui présente un jour sa belle-mère. Celle-ci la force à entretenir des relations homosexuelles, et Claudia cherche à se débarrasser d’elle.
En Sicile, une adolescente refuse d’épouser l’homme qui l’a violée. Elle porte même plainte contre lui. Cependant, l’individu est un ponte de la mafia.
Parce que le régime fasciste exige un coupable à tout prix, un photographe est faussement accusé du viol et du meurtre de plusieurs fillettes entre 1924 et 1928, à Rome.