Alors que les choses commencent à s’améliorer, Marie est frappée par une motocyclette et tombe dans un coma, dont elle risque de ne pas se réveiller.

Charlie, adolescente réservée, fait la rencontre de Sarah, une nouvelle élève arrivée en cours d’année dans sa classe de terminale. Elle se lie bientôt d’amitié avec cette jeune fille pleine d’assurance qui la fascine et la prend sous son aile. Sarah pénètre peu à peu dans l’intimité de Charlie et leurs relations prennent un tour malsain, toxique même.

Roy est un criminel et tueur à gages qui est trahi par son patron. Après avoir tué l’homme envoyé pour le tuer, Roy découvre Rocky, une jeune femme captive, et l’amène à contrecoeur avec lui lorsqu’il fuit.

Après avoir révélé à sa grand-mère qu’elle entre en relation avec des esprits, Eugénie est amenée de force par son père à l’hôpital de la Salpêtrière. Les femmes qui y sont internées sont les cobayes de thérapeutes masculins. Notamment le fameux docteur Jean-Martin Charcot, qui a mené des recherches sur l’hystérie et qui est considéré comme un pionnier de la neurologie.

Inspiré de faits réels, le film nous entraîne dans le sillage tumultueux de Bruno Sulak, véritable Arsène Lupin du 20ème siècle. Flamboyant braqueur, ami fidèle, icône de la liberté, Bruno Sulak a marqué l’histoire du banditisme par ses braquages non violents de multiples bijouteries. Tout en étant activement recherché par George Moréas, un commissaire de police non conformiste aussi coriace que perspicace, Sulak est parvenu à s’échapper de prison à plusieurs reprises afin de retrouver Thalie, son amante et complice, devenant ainsi l’ennemi public numéro 1 des années 80