Durval et sa mère Carmita vivent à l’arrière de « Durval Discos », un magasin de disques qu’ils possèdent à São Paulo, spécialisé dans les disques vinyles. Ils mènent une vie ennuyeuse et peu attrayante, jusqu’au jour où Durval engage une femme de ménage, Celia, pour aider sa mère à faire le ménage. Mais dès son deuxième jour, Celia s’en va en laissant derrière elle un enfant de 5 ans, Kiki, et un mot promettant de revenir quelques jours plus tard. Durval et Celia sont d’abord charmés par l’enfant, mais bientôt ils apprennent à la télévision de tristes nouvelles concernant Celia et Kiki qui vont changer toute la situation.

Baby vit seule dans l’appartement qu’elle a hérité de sa mère. Elle donne des cours de guitare à quelques élèves et est en constante friction avec ses sœurs. Lorsque un musicien, Max emménage dans l’appartement voisin, Baby voit en lui une grande chance de renouer avec la vie. Pour que leur romance fonctionne, elle est prête à affronter toutes les menaces, y compris sa dépendance compulsive à la cigarette.

Val est l’indispensable domestique d’une famille aisée de Sao Paulo. Logée et nourrie par ses employeurs, qui lui témoignent de l’affection, elle est quasiment devenue un membre de la famille même si l’on ne manque jamais une occasion de la remettre à sa place. Bien qu’elle soit elle-même mère de Jessica, qui a grandi loin d’elle, elle a pris soin du petit Fabinho, aujourd’hui adolescent, qu’elle chérit comme son propre fils.

Pierre profite de sa fin d’adolescence dans les fêtes branchées de São Paulo. Sa mère, qui l’élève seule avec sa jeune soeur, lui laisse une grande liberté. Sauf que leur mère n’est pas leur mère : un test ADN prouve qu’elle les a enlevés à la naissance. Séparés, les enfants sont précipités dans leur vraie famille. Les parents biologiques de Pierre, dont le prénom de naissance est Felipe, à sa recherche depuis 17 ans, se retrouvent face à un adolescent qui ne partage pas leur vision de la vie.