Hans Christian Schmidt est un réalisateur allemand né le 19 août 1965 à Altötting. Schmid poursuit ses études secondaires au König-Karlmann-Gymnasium à Altötting. Il étudie le film documentaire à l’ Université « Hochschule für Fernsehen und Film München » à Munich jusqu’en 1992. Dans le cadre de ses études, il tourne « Sekt oder Selters », un documentaire sur les joueurs accros aux machines à sous, le court métrage « Das lachende Gewitter » et le documentaire « Die Mechanik des Wunder », qui traite de la contradiction entre croyance et commerce dans sa ville natale d’Altötting. Il collabore avec l’auteur et réalisateur Michael Gutmann sur plusieurs scénarios. En 2004, Hans-Christian Schmid fonde la société de production 23/5, avec laquelle il réalise un premier long métrage, « Requiem, il sort en 2006, participe à la compétition de la Berlinale et remporte, entre autres, le prix du film allemand 2006 en argent dans la catégorie meilleur film. En 2016, il signe sa série policière en huit parties, Das Verschwinden. Schmid donne également des conférences depuis quelques années. Il participe à la HFF Munich, l’ Académie du cinéma Ludwigsburg, l’ Académie des arts médiatiques à Cologne et l’ Académie du cinéma et de la télévision allemande (DFFB).
En 2003, il a été l’un des membres fondateurs de la Gründungsmitgliedern der Deutschen Filmakademie. Il est également membre de l’Académie des Arts.
Non loin de Rosenheim, dans un lycee prive situe aux pieds des montagnes bavaroises, Benjamin, un jeune handicape de seize ans, vient y poursuivre sa scolarite, apres avoir echoue dans plusieurs etablissements. Complexe par son infirmite, il a du mal a surmonter sa timidite et peine a reussir ses examens. Cependant, il se lie d’amitie avec le turbulent Janosch, son camarade de chambre.
Michaela, 21 ans, grandit dans une petite ville du sud de l’Allemagne entre un père faible et affectueux et une mère autoritaire.
La Haye, en 2009. Hannah Maynard, adjointe au procureur général du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie, est chargée au pied levé de représenter l’accusation contre Goran Duric, un présumé criminel de guerre serbe. Cependant, à l’audience, le principal témoin à charge, un jeune musulman anxieux, est mis en difficulté par la défense. Après qu’une reconstitution organisée en Bosnie prouve qu’il a menti, il se suicide.